Kholat è un gioco sufficiente, l'esplorazione è interessante ma risulta tediosa alla lunga. La componente survival horror potrebbe essere migliore, ottima ambientazione ma il mostro che vi inseguirà per il gioco è troppo lento per starvi dietro, una volta individuato basta correre nella direzione opposta e sarete a posto.
|
|
decente,,sobre todo si tienes una grafica decente y lo juegas en buena calidad,,pero le falta algo,,no se,,,, quizas esperaba demasiado de una ssaga tan tetrica como esta,,pero en reglas generales es pasable
|
J'ai juste adorer ce jeu, pour l'ambiance, l'histoire qu'on découvre par nous même, les quelque coups de pression que l'antagoniste nous donne, des petites course poursuite qui donnent des soeurs froides, très bien optimisé, j'ai pas vu de bug majeurs.
|
|
Joué via Steam, sur Nvidia Shield TV, manette Xbox One
Wow.... je voudrais dire....encore, encore des jeux comme ça.
Sans doute pas "tous publics", difficile (pour avoir la "vraie fin"), mais bon sang ... le seul vrai jeu de dépassement de soi que je connaisse (et j'ai un bon passif ;- ) )
Le froid (on le ressent !!! ) la lueur de la lune, l'immensité (du moins on le croirait) glacée, enneigée, la solitude, une menace obscure, flippante (si on la voit, c'est déjà trop tard la plupart du temps), la perte de la notion de temps et d'orientation...
Arrive un moment où il n'y a plus que la volonté qui permet d'avancer encore pour y arriver, pour "en finir".
Et j'ai envie de dire que c'est là que le jeu prend toute sa densité, sa profondeur.
C'est un challenge, qu'on a envie de tenter, puis de réussir.
Ou pas.
Exactement comme l'ascension de quelque sommet de montagne pour faire la comparaison.
Je recommande l'utilisation des cartes "solution" (juste les cartes) que l'on trouve sur le net, (peut être pas tout de suite au début du jeu mais bon) indiquant où se trouvent TOUTES les "choses" à trouver.
Parce qu'avec elles, le challenge est encore plus grand.
Magnifique graphiquement, bande sonore au top, envoûtante, angoissante par moment, histoire bien ficelée même si au final ce n'est pas le plus important, ambiance immersive au top, j'ai adoré.
Mais à chacun de se faire sa propre opinion
|
Great game I spend very good time on it.
Sadly the game is a bit short and confusing, no real objective.
I still recomand it because of the atmosphere and because I got some shiver along the game.
If you like short story game try it.
|
|
Très bon jeu de survie tiré de l'histoire VRAIE de l'affaire du col Dyatlov. Jeu terminé sur PS4, je le reprends sur PC car vraiment excellent.
Réactions du personnage réaliste, graphismes très beaux. Une bande son extrêmement bien réalisée qui plonge le joueur dans une atmosphère oppressante (mention spéciale aux murmures résonnants dans les cavernes...). Un conseil : jouer dans le noir sans bruit perturbateur pour profiter pleine de ce jeu.
Je vois souvent des commentaires qui disent "on ne sait pas ce qu'on doit faire" ; "on meurt tout le temps sans savoir pourquoi" etc. En même temps, il s'agit d'un jeu de survie, pas un RPG. Lorsqu'on regarde sa carte, on se rend compte que des coordonnées géographique sont inscrites dessus, pas besoin de sortir d'Harvard pour comprendre qu'il faut se rendre à ces endroits pour avancer dans l'histoire. Le principe : récupérer des pages de journaux qui permettent de comprendre ce qu'il s'est passé avec les alpinistes et les chercheurs. D'autres pages (dont les coo ne sont pas indiquées) sont à trouver, mais non essentielles pour finir le jeu. Se perdre dans ces montagnes est tout à fait normale, il faut l'accepter car cela fait partie intégrante du jeu. Quant au fait qu'on l'on meurt souvent et sans savoir pourquoi, c'est à moitié vrai. Oui, on meurt souvent, c'est une fatalité. Mais il suffit de regarder sa boussole qui s'affole à l'approche de l'esprit malveillant ou de guetter les traces de pas de celui-ci dans la neige pour savoir quand cela devient dangereux.
Au final, beaucoup semblent tout simplement déçu du jeu car ils n'en ont pas comprit l'essence, c'est vraiment dommage car c'est le meilleur jeu de survie que j'ai jamais fais. Si vous aimez la survie/horreur, n'hésitez pas et plongez vous dans Kholat ! Mais soyez averti que c'est un jeu de patience, d'observation et parfois de bon timing xD Je pourrais en parler encore longtemps, mais je vais m'arrêter là au risque de trop spoiler =)
|
|
Había jugado en casa de un amigo y en cuanto lo vi aqui me decidi a comprarlo: una historia bien realizada, unos buenos efectos y una atmosfera que te encierra... Me encanta!
Se hecha en falta que no exista un DLC o quizas un final alternativo.
|
|
J'ai environs 2 heures de jeu dessus, que dire, perso moi j'aime beaucoup l'ambiance, déjà c'est très beau. Le jeu se consiste a ce promener dans une zone montagneuse, en plein blizzard le plus souvent, a chercher des pages pour essayer de comprendre ce qui est arrivé à un groupe de scientifiques dans les années 60.
Une créature genre slender te traque de temps en temps.
Je répète le jeu prime pour son ambiance vraiment réussie. Il est à 1 euro en ce moment sur le site faut pas se priver.
|
Ancora non l'ho finito ma è davvero suggestivo, soprattutto se lo si gioca da soli, al buio, di notte e con le cuffie
La storia, essendo presa da fatti reali, ti coinvolge pienamente e il gioco qualche colpo al cuore ce la fa a dartelo xD
This game is kinda weird in the start,but when you get thru the begining its funny and scary its a nice location for the game,nice graphics would recommend the game its so op-over power if you have 1.49 you should buy it
Una buena experiencia por un buen precio en IG. Vale la pena. El ritmo, la tensión y la historia son de calidad pero no es un juego para todo el mundo. Si es lo que buscas te gustará, si no pues eso, juega otra cosa.
|
|
le jeu avais l'air intéressant met quesqu'on s'ennuye on est seul et on tourne en rond a essayer de savoir quoi faire
il est assez beau et il as une bonne ambiance par moment met très peu
je le conseil a personne ça en vaut pas le coup
|
|
Normalerweise sind Horror-Exploration-Adventures überhaupt nicht mein Ding. '"Slender - The Arrival", "Amnesia: The Dark Descent"oder Ähnlich-Gestricktes darf man mir erst gar nicht anbieten. Zum einen macht mein Nervenkostüm da nicht lange mit - und das obwohl ich totaler "Dead Space"-Fan bin *lach* -, zum anderen bin ich für arg schlauchartige bzw. räumlich sehr begrenzte Areale nur schwer empfänglich, vor allem wenn sich die grafische Präsentation solcher Welten nur aufs Grundnötigste beschränkt.
Bei "Kholat" übermannte mich aber dann doch die Neugier. Der reale Unglücks-Vorfall am Djatlow-Pass als Story-Grundlage, Sean Bean als Erzähler, das große, frei begehbare, in Eis und Schnee gehüllte Gebirge, dazu noch die ganz neue Unreal4-Engine die bisher in nur ganz wenigen Spielen zum Einsatz kam... All das klang vielversprechend.
Nach einem kurzen Intro-Anriss über den historisch festgehaltenen und bis heute ungeklärten Djatlow-Pass-Vorfalls von 1959, bei dem neun Ski-Wanderer unter mysteriösen Umständen ums Leben kamen, macht man sich als Namenloser auf dem Weg, das Rätsel am Cholat Sjachl - auch "Berg der Toten" genannt - zu lüften. Per Zugfahrt landet man an einem Bahnhof nahe des Unglückortes. Endstation. Vor uns ein verlassenes Dorf. Nicht begehbare Häuser. Türen lassen sich nicht öffnen. Nichtmal über hüfthohe Zäune kann man springen. Hinweise für den nächsten Schritt? Gibt es nicht. Also latschen wir planlos, ohne konkretes Ziel durch die Gegend, wagen uns durch ein kleines Waldstück, in der Hoffnung dass irgendwas passiert. Letztendlich passiert tätsächlich was, denn wir brechen durch den Boden, fallen in Ohnmacht.
Später kommt man in einer felsigen Höhle wieder zu sich. Wir folgen dem einzigen Weg den diese Höhle zulässt: Ins Freie. Und finden uns mitten in einem heftigen Sturm. Der Wind faucht um uns herum, das Schneegestöber raubt die Sicht, man weiss nicht wohin es gehen soll... Bis ein Klingeln gleich einem Glockenspiel ertönt. Wir folgen dem Geräusch, und so nach und nach wird ein einsames Zelt wahrnehmbar. Verkriechen uns ins Zelt, warten bis der Sturm nachlässt. Studieren die Karte die zurückgelassen wurde und suchen nach Hinweisen, Notizen, vor allem aber nach den Tagebuchseiten der Verstorbenen.
Die Ausgangslage ist von Beginn an extrem stimmig und verfehlt ihre Wirkung nicht: Im großen Gebirgsareal fühlt man sich richtig einsam und verloren. Nicht nur die wunderbar gestaltete, im kalten Weiß gedeckten Hänge, die nicht enden wollende Nacht, der gleißend-helle Mond oder finstere Berghöhlen lassen einen innerlich frösteln, auch die authentischen Soundeffekte und der unheilvolle, in Schlüsselmomenten eingespielte Score packen einen bei den unterkühlten Eiern. Den Entwicklern gelingt es mit dieser audiovisuell hochwertigen Basis ein permanentes, angenehmes Gruselfeeling zu bewirken, welches - bedingt durch die ausschließliche Karte-Kompass-Nutzung und den damit verbundene Weglass aller sonst aus anderen Spielen gewohnten Navigations-Komforts - passend mit dem Gefühl des verzweifelten Herumirrens einhergeht. Man wähnt sich tatsächlich auf einem realem Gebirge, dem Wetter und der beängstigenden Leblosigkeit um einen herum ausgesetzt. Die durch Tagebuch-Funde ausgelösten Scripts bilden am Ende gar die besonderen Höhepunkte des Spiels.
Eigentlich ist "Kholat" für sich betrachtet ein echter Atmo-Hammer, doch neben durchaus spannenden Momenten steckt in diesem schaurigen Abenteuer auch ein gewisses Frust-Potential.
Wie es schon der Einstieg vermuten lässt soll "Kholat" nicht so schnell, geschweige denn leicht durchgespielt werden. Das Finden der Tagebuchseiten ist trotz auf der Landkarte vermerkter Koordinaten schwierig, weil die eigene Position nicht angezeigt wird - halt wie im echten Leben -, zumal einem außer besagter Karte und Kompass keine weiteren Hilfsmittel zur Verfügung stehen. Ein guter Orientierungssinn und die Beachtung von markanten Landschaftspunkten sind für die bessere Orientierung hierbei von unschätzbarem Wert. Wer im realen Leben Erfahrung in Karte-Kompass-Lesen hat ist hier klar im Vorteil, mir kam die eigene Erfahrung durch die Wehrpflicht zugute. *g*
Aber selbst dann passiert es nicht selten dass man unterwegs über sekundäre Info-Fetzen stolpert, dafür die zum Abschließen des Spiels weitaus wichtigen Tagebuchseiten schlicht übersieht oder nur durch Glück erhascht. Teilweise sind sie einfach zu gut versteckt oder nur durch Umwege erreichbar, desweiteren verleiten arg verschlungene Talwege oder Höhlengänge ungewollt dazu sich im Kreis zu bewegen. Mangelnde Interaktionsmöglichkeiten wie simples Springen oder Klettern zwingen den Spieler zu alternativen Routen, die sich auch gerne ziehen. Dass man zwischen entdeckten Zeltlagern via Schnellreise wechseln und so lange Wege mitsamt Zeit verkürzen kann, das verschweigt "Kholat" sogar. Auf diese Funktion bin ich nur durch puren Zufall gestoßen, da hatte ich bereits 4 Stunden Spielzeit und 6 gefundene Seiten hinter mir. Im Nachhinein sehr ärgerlich.
Und da wären noch die hin und wieder auftauchenden Entitäten. Unheimliche wie aggressive Wesen, die anfangs noch für heftige Jumpscares sorgen, ihren Schrecken aber recht schnell wieder verlieren und später nur Nerven kosten, weil sie gerne den Weg zum nächsten Tagebuch-Schnipsel versperren. Frontale Begegnungen sind nicht zu empfehlen, sonst landet man nach einem tödlichen Schlag am letzten automatischen Speicherpunkt, und dieser kann ein gutes Stückchen weg vom letzten Aufenthaltsort liegen. Gleiches Spiel auch beim Sturz in die Tiefe, ungesundem Tritt in eine fies-versteckte Bodenfalle oder der gescheiterten Flucht vor einem "Feuernebel". Da man sich in keinster Weise wehren kann, läuft es bei besagten Gegnern nebst Nebel nur auf eines hinaus: Wegrennen und großen Abstand zu der Gefahr hinter sich gewinnen, oder aber sich schnellstens auf einen sich ganz in der Nähe befindlichen Tagebucheintrag stürzen, weil sich dann jede unmittelbare Bedrohung automatisch in Luft auflöst.
Diese Sache mit der leidigen Rückversetzung nach einem von vielen Bildschirmtoden, manch unnötig langer Weg und die nicht existente Wechselbeziehung zwischen Alter Ego und Umwelt, all das nagt am sonst hervorragendem Spielgefühl und an der gelungenen Stimmung. So gut die künstlerischen Fertigkeiten der "Kholat"-Entwickler ohne Frage sind, bezüglich Gameplay müssen sie sich unbedingt bessern. Und auch wenn mich (nur) noch 2 Seiten vom Spielende trennen, habe ich schon jetzt die böse Vorahnung dass die Auflösung des ganzen Gruseltheaters kaum für den künstlich gestreckten Spielablauf ausreichend entschädigt. Sean Beans narrative, an mich gerichtete Stimme lässt mich hinsichtlich der Bedeutung seiner kryptischen Worte ratlos zurück, während die aufgelesenen Papierschnipsel Andeutungen auf übernatürliche Phänomene, Militärexperimente, Psychos und andere wilde Theorien machen, letztendlich aber nix Konkretes ergeben.
Fazit:
Selten kommt es vor dass ein Spiel - wie in diesem Falle "Kholat" - bei mir einen sehr zwiegespaltenen Eindruck hinterlässt. Das winterliche, wunderbar düstere Ambiente und der auf realen Bezügen fußende Aufhänger gefallen, optisch wie akustisch sowieso. Die anfängliche Spannungserwartung ändert sich jedoch recht schnell in große Ernüchterung. Das Gefühl der puren Isolation ist der einzig nennenswerte Klimax der sich im ganzem Spiel zweifelsfrei einstellt, der Rest zeichnet sich durch monotones Wandern, Suchen und gelegentliches Sterben aus. Schade um die eigentlich gute Idee hinter "Kholat", denn an und für sich ist es kein schlechtes Spiel. Die eingefangene Atmo ist seine größte Stärke, das aufs Minimum reduzierte Gameplay zieht's dafür auf durchschnittliche Wertungsgebiete herunter.
Trotzdem, wegen des ambitionierten Grundgedankens und des ansprechenden Settings vergebe ich eine (eingeschränkte) Kaufempfehlung.
|
|
Ich bin per Zufall auf dieses Game aufmerksam geworden und ich wollte es dann schnell selber haben. Kholat ist ein grafisch sehr ansprechendes und akkustisch sehr atmosphärisches Spiel mit leichten Horror-Elementen. Zwar keine Perle aber durchaus ein gutes Game. Kann ich empfehlen.
|
Que dire...Le jeu est beau, l'ambiance est prenante de premier abord. L'histoire semble prometteuse et intéressante puisqu'elle parle de la légende de Kholat en Urss ( une expédition de haute montagne décimée entièrement de façon obscure ). On se retrouve donc seule, a tourner en rond dans une foret avec une sorte de créature plus apparentée à salamèche qu'autre chose qui parfois nous fais face. Le but? Trouver des feuilles de papier avec des renseignements. Je n'ai pas eu le courage d'aller jusqu'au bout vu l'ennui du jeu.
|
|
Kholat è perfetto per gli amanti del survival a tratti horror. La mappa è grande, forse anche troppo, il che rende il gioco dispersivo.Grafica ed effetti sonori resi bene. Trama apprezzabile ma dispersiva. HUD ben realizzato, ambientazione pure, anche se manca la variazione del meteo e del tempo...
|
|
Creating your account enables us to deliver you the game you have chosen directly after the end of the giveaway if you are the winner!
Criando sua conta permite visualizar o seu cartão alguns segundos imediatamente após a compra, mas também para obter a história dos seus pedidos anteriores em poucos click's.
Aliasing DMCC, Unit 1204, JBC3, Jumeirah Lakes Towers, Dubai, UAE - RN DMCC179752
Transactial Ltd, Regus House, Harcourt Centre, D02 HW77, Dublin, Ireland - RN IE664195