Total War: Rome II Emperor Edition

Total War: Rome II - Wrath of Sparta

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Total War™: ROME II – Le courroux de Sparte Au sujet de ce contenu : Le courroux de Sparte présente une toute nouvelle expansion de campagne épique pour Total War™: ROME II qui se concentre exclusivement sur le monde hellénique et plonge les joueurs dans les événements turbulents de la célèbre guerre du Péloponnèse. Nous sommes en l'an 432 av. J.-C. et l'agitation se répand parmi les cités-États grecques. Lors d'une réunion de la ligue du Péloponnèse, la prospère A...
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Total War: Rome II Emperor Edition
Cette extension requiert le jeu de base Total War: Rome II Emperor Edition
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Total War: ROME II – Le courroux de Sparte

Au sujet de ce contenu :

Le courroux de Sparte présente une toute nouvelle expansion de campagne épique pour Total War: ROME II qui se concentre exclusivement sur le monde hellénique et plonge les joueurs dans les événements turbulents de la célèbre guerre du Péloponnèse.

Nous sommes en l'an 432 av. J.-C. et l'agitation se répand parmi les cités-États grecques. Lors d'une réunion de la ligue du Péloponnèse, la prospère Athènes a provoqué l'hostilité de Sparte, Corinthe et de la ligue béotienne, faisant pencher la balance politique au delà du point de non-retour.

Même si les autres factions maintiennent une alliance libre contre l'arrogance athénienne, chaque État a ses propres plans. Le future de la Grèce est en jeu, et le conflit qui s'ensuit n'aboutira sur rien de plus que la domination du monde hellénique.

Pendant ce temps, le puissant empire perse observe, patiente et prépare ses forces armées pour renverser la vague de troubles helléniques à son avantage.



Le courroux de Sparte comporte :

Nouvelle carte de campagne
Sur la période la plus ancienne jamais couverte dans Total War, la carte de campagne Le courroux de Sparte représente de manière précise et détaillée le monde grec en 432 av. J.-C. Elle inclut 22 provinces sur 78 régions et couvre la partie continentale de la Grèce, les îles et le littoral ionien. Douze nouvelles merveilles y sont présentes, y compris les Ruines de Troie, le Temple de Zeus et les Tombes royales du royaume de Macédoine. De plus, comme la campagne se déroule sur une période moins étendue que la grande campagne de Rome II, chaque tour représente un mois.



Quatre factions jouables
Athènes, Corinthe, Sparte et la Béotie sont toutes jouables dans Le courroux de Sparte, et chacune présente ses propres traits de faction, listes d'unités, défis et point de départ géographique. Par ailleurs, des généraux et hommes d'État historiques célèbres apparaissent dans la campagne, comme le général spartiate Lysandre et le dignitaire athénien Socrate.

En hommage à sa force historique, Sparte peut incorporer une plus grande diversité de troupes que les autres factions pour refléter sa maîtrise terrestre, tandis qu'Athènes dispose de cet avantage en matière navale.



Jeux panhelléniques et festivals
Les Grecs de l'époque étaient des athlètes passionnés et les compétitions annuelles des jeux olympiques, pythiques, isthmiques et néméens sont représentées. Lorsque chacune d'elles aura lieu au fil de l'année, vous aurez des choix à faire. Allez-vous sponsoriser un athlète, soutenir un participant, envoyer un ambassadeur ou ne rien faire ? Chaque choix peut porter ses fruits ou vous causer des problèmes. De la même façon, le calendrier grec était rempli de festivals religieux qui apportent leurs propres bonus de campagne et bienfaits, et reflètent l'esprit de l'époque.



Nouveaux arbres de technologies
Le courroux de Sparte comporte de tous nouveaux arbres de technologies qui reflètent les développements militaires, navals et civiques de l'époque. Les six branches permettent au joueur d'avancer dans ces domaines technologiques, mais aussi en matière de philosophie, esthétique et mathématique.

Tribalisme hellénique
À l'exception de l'empire perse, les factions représentées dans Le courroux de Sparte sont culturellement helléniques. Ainsi, « culture » a été remplacé par « tribalisme ». Chaque faction appartient à une des tribus grecques, et même si les quatres factions jouables ne souffriront pas de problèmes d'ordre public à cause de la présence d'autres tribus grecques, elles subiront des pénalités diplomatiques majeures avec les factions qui ne sont pas « vraiment » grecques.

La menace perse
L'empire perse se trouve tout à l'est de la carte de campagne et reste majoritairement non-impliqué dans les affaires grecques. Toutefois, si un État grec vient à dominer les autres, les Perses augmenteront leur participation militaire graduellement, afin de mettre à genoux cette puissance.



Nouvelles listes d'unités terrestres et navales
De nouvelles listes d'unités sont disponibles pour les quatre factions jouables, et représentent l'art de la guerre à cette époque historique en Grèce. Les factions grecques s'appuient largement sur les hoplites, avec des éléments de soutien pour réagir aux différents scénarios de combat et varier les tactiques. Il existe moins d'unités de mercenaires, mais elles sont spécialisées et peuvent rapidement renforcer et apporter une plus grande flexibilité aux armées. Elles sont disponibles dans toutes les provinces.

La base des atouts navals grecs se compose de variations tactiques de dières et de trières, mettant l'accent sur l'éperonnage et l'abordage. De plus, les navires de transport servent plus aux déplacements qu'au combat et ne peuvent plus éperonner dans la bataille, ce qui réduit l'avantage injuste des convois de troupes en mer. Ce changement sera appliqué rétroactivement à toutes les campagnes ROME II.

Parmi plus de 50 nouvelles unités terrestres et navales dans Le courroux de Sparte, vous rencontrerez également des troupes spécialisées et légendaires, comme les lanciers immortels, les hoplites spartiates et les Skirites.

Configurations

minimale*

  • OS *: XP/ Vista / Windows 7 / Windows 8
  • Processor:2 GHz Intel Dual Core processor / 2.6 GHz Intel Single Core processor
  • Memory:2GB RAM
  • Graphics:512 MB DirectX 9.0c compatible card (shader model 3, vertex texture fetch support).
  • DirectX:9.0c
  • Hard Drive:35 GB HD space
  • Additional:Screen Resolution - 1024x768

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Les avis des joueurs

8
Note du jeu basé sur 8 tests, toutes langues confondues

Les plus récents

Jeu très bien mis en place avec son système de diplomatie ainsi que d'arbre généalogique qui n'était pas présent sur TW Rome et que j'aime beaucoup.
  • graphismes
  • aucun
C'est bien la première fois que j'écris un avis sur un jeu mais là c'est vraiment la déception de l'année.

J'en suis à une quinzaine d'heures de jeu et j'ai décidé d'en rester là pour le moment, en espérant que les patchs à venir vont un peu rétablir la situation.

Passons rapidement sur les problèmes d'optimisations : à un niveau de qualité graphique égal à Shogun II, c'est plus lent. Mais bon, c'est bien dans la tendance actuelle de se reposer sur les innovations hardware pour programmer paresseusement avec des moufles.

Le vrai gros problème, c'est la quantité invraisemblable de factions. Ca partait surement d'une bonne intention, mais ça plombe tout le gameplay. Les factions jouées par l'ordinateur ne disposent chacune que de quelques colonies et sont donc rapidement incapable de se défendre contre le joueur, qui peut grignoter du territoire à son aise sans vraiment rencontrer de résistance. En plus, dès qu'une faction est éliminée, une autre se crée pratiquement le tour d'après (bien sûr c'était déjà le cas avant mais de manière un peu moins abusée, ce qui fait qu'on se retrouvait plus souvent avec quelques superpuissances avec lesquelles il fallait compter).

Mais le plus grave problème avec le nombre de faction, c'est la fin de tour. Honnêtement, en début de campagne, ça va, chaque faction joue assez vite pour que ce ne soit pas trop désagréable, mais plus le jeu avance, plus les tours ralentissent et ça deviens vite insupportable (à moins que le fait d'attendre trois ou quatre minutes entre chaque tours ne vous gênes pas plus que ça), ça tue vraiment le rythme de la partie.

Je ne suis également pas très convaincu par les batailles qui se réduisent rapidement à une grosse mêlée sans subtilité à part charger dans le dos avec les cavaliers, un truc que l'ordi ne tente absolument pas de contrer, ou en général je sors gagnant quasiment sans perte (enfin les rare cas où je dois diriger la bataille, dans l'immense majorité des cas l'auto-résolution est suffisante). un peu dommage quand je le compare aux nombreuses bagarres épiques que j'ai eu dans les autres Total Wars.

Bien sur le jeu en soi n'est pas intrinsèquement mauvais (j'aime bien la partie gestion des colonies même si les généraux sont un peu trop impersonnels) et la plupart de ces problèmes sont corrigeables sur le long terme, mais moi, quand je développe un programme, les clients le jugent sur son état à la sortie, pas sur ce qu'il sera six mois plus tard, d'où cette note basse que je n'aurais jamais pensé donner un jour à un Total War.
  • - Le système de régions
  • - Un concept toujours aussi addictif
  • - Les batailles navales et terrestres sur une même map
  • - Les changements de tour très longs
  • - Quelques bugs

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