Saïmone (gamer-7a65d1)'s profil publiczny

Saïmone

Poziom 85

Jesteś z nami od: mar 11, 2017

60 przesłane recenzje

Ninja Gaiden... mais quelle pépite cette licence ! Le coup de pied au cul de dynamisme que peut asséner ce style de jeu aux licences que l'on connaît aujourd'hui, c'est dingue.

Tu sais immédiatement pourquoi tu aimes ce jeu. Parce que ça bouge, que ça ne parle pas pour rien dire, que tu ne vas pas perdre ton temps à farmer pendant des heures, ou écouter des PNJ te demander d'être leur tapin pour faire une quête secondaire inintéressante au possible... Bref, tu sais pourquoi t'es là. Défourailler, oui mais avec style !

Le personnage de Yakumo prend de suite toute sa place au sein de la franchise. Un personnage plus jeune qui marche sur les plates-bandes de "Sir" Ryu Hayabusa, à qui succéder n'était pas chose aisée et il s'en sort avec une habileté déconcertante.

Côté jouabilité : c'est très maniable, léger et facile à prendre en main sauf quelques combos qui demandent pas mal d'adresse et de pratique, mais un module d'entraînement est prévu à cet effet à chaque apprentissage pour bien s'ancrer la succession des touches. La rejouabilité est très présente et c'est tant mieux car le jeu se termine assez vite malheureusement.

Côté intérêt : c'est un jeu que l'on apprécie de faire dès les premières minutes, mais où l'on ne devient bon qu'au bout de plusieurs parties (comme tous les jeux me direz-vous, oui, mais sur celui-ci c'est très flagrant). La griffe de Koei Tecmo est clairement là et n'a rien perdue de sa superbe.

Portant une attention particulière au charisme des personnages dans un film ou dans un jeu, là je pense que pour une fois EA me régale. Ce jeu a volé la vedette à Anthem à l'époque, et maintenant je comprends pourquoi.

En même temps, vu la vacuité dont faisait preuve ce titre pourtant très prometteur, le défi n'en était pas un.

Ce jeu procurera une certaine distraction mêlée avec un très amer souvenir de l'abomination qu'a pu être la première guerre mondiale. Les personnages et la VF sont très réussis, les cinq histoires ici contées prennent aux tripes (pour celles et ceux qui y sont sensibles) et rappelleront sans trop d'efforts les plus grands films de guerre. La narration est irréprochable. J'ai adoré.

Ah oui, n'écoutez pas les rageux, il fonctionne très bien sous Windows 11 à condition que vous fassiez le nécessaire dans l'UEFI de votre PC pour que le programme d'anti-triche natif d'EA puisse fonctionner, les tutos en la matière sur YouTube sont légion.

Un jeu possédant une atmosphère des plus immersives qui vient bousculer les codes préétablis des licences AAA avec l'adorable arrogance que possède l'âme pixel-art.

Blasphemous vient s'aventurer sur un terrain glissant : Perpétuer une tradition du début des années 90 (un jeu en 2D de plateformes) avec une durée de vie des jeux actuels (25h de jeu pour moi), et autant dire que le pari était risqué, car ce profil vidéoludique vise plutôt une clientèle quadragénaire.

Le mappage d'usine de la manette (Xbox en ce qui me concerne) est juste parfait, quelques bugs peu gênants (et même parfois attachants) croiseront votre progression. Le jeu proposera une nouvelle partie + en fin de scénario et 2 autres fins, mais je n'ai pas eu la foi de les faire.

The First Berserker: Khazan Deluxe Edition

Difficulté super bien dosée, graphismes et animations de porc, histoire et son déroulement accrocheurs, maniabilité manette Xbox irréprochable, illustrations superbes.

Je le situe à mi-chemin entre God of War et Black Myth Wukong.

Black Myth: Wukong Digital Deluxe Edition

Recenzja bez tekstu

RoboCop: Rogue City - Unfinished Business

Ça défouraille environ 3 fois plus que dans le premier opus, j’ai pris beaucoup de plaisir à le faire après une longue hésitation à le payer plein pot tant j’ai cru pendant longtemps à un simple DLC.

Mais non, ce jeu possède sa propre histoire et propose pas mal de bonnes surprises… Comparé au premier, on se sent vraiment seul, mais ça rend le jeu encore + sympa, il y a moins d’interactions avec les PNJ, ne m’en déplaise car je trouvais les conversations très bouche-trou et anecdotique.

Graphiquement très beau réglé en qualité épique, tourne à merveille sur un 7900X3D + 4070Ti Super.
Le jeu a crashé cependant 2 fois en 5h, mais heureusement la sauvegarde automatique est fiable.

Les bruitages sont excellents, la VO rajoute comme à son habitude un certain charisme au personnage et les traductions en sous-titres sont correctes.

Je valide à 100%?

Effectivement c’est pas mal, je suis très mitigé... le battage médiatique qui a eu lieu autour a placé mes attentes un peu trop hautes. Je salue cependant unanimement le résultat dans le travail acharné fourni par une si petite équipe de développeurs pour pondre un titre de cette envergure a la patte graphique chiadée; composée qui plus est d’anciens d’Ubisoft, ce qui constitue un énorme doigt d’honneur à un studio attaqué juridiquement de toutes parts pour son management toxique et salace.

Les + :

- Effets de lumières, diversité des couleurs

- VF excellente (jeu français, donc pléonasme)

- Originalité scénaristique

- Codage excellent

- Pour les amateurs du genre

Les - :

- Extrêmement chronophage, j'ai très souvent la sensation de perdre mon temps devant le jeu pendant les combats

- Presque toutes les femmes dans le jeu ressemblent à Emmanuelle Béart jeune

- Ne révolutionne pas non plus le monde du jeu vidéo comme le vante sa commu… ça va oh…

Ce titre est le talisman de ce que signifie l'expression "c'était mieux avant". Il représente à mes yeux le plaisir de l'action immédiate des jeux des années 80 et 90 avec ce qu'il faut de difficulté, suffisamment de lore pour se mettre dans son univers, demande une adresse conséquente dans les phases de plateformes, et surtout de comprendre les patterns des boss.

On choisit la mission que l'on veut (re)faire au dur et à mesure que le jeu avance et la rejouabilité s'annonce excellente.

Sans conteste, le plus abouti de la saga. L'histoire, qui a difficilement tenté de créer son importance dans les deux précédents opus via un codex que trop peu de joueurs ont eu la foi de lire, a ici la lourde tâche de s'exposer dans toute sa démesure via de superbes cinématiques.

En ce qui me concerne, c'est une franche réussite. Créer ex nihilo un scénario pour un jeu qui n'était destiné qu'à être un défouloir (ce qui n'est toujours pas mis de côté ici, et fort heureusement !!) , avec des personnages marquants et charismatiques, confère à cette licence un intérêt supplémentaire non négligeable.

J'aime cette licence depuis le collège avec toute la nostalgie que cette époque implique pour les bons souvenirs qu'elle remémore, et ce préquel à Doom 2016 et Eternal ne peut que lui rendre le plus bel hommage en respectant trait pour trait le bestiaire, tout en le restylant de la plus belle des manières.

Foncez !

ça pose toujours un problème d'avoir dans sa collection un joyau d'une telle splendeur, car on en devient élitiste. Tout y respire la sagesse, la réflexion, la patience et le détachement... La grande dextérité que requiert le maniement du Prédestiné va vous faire passer des heures à (des aprems entières dans mon cas) comprendre ce qui a pu échapper à votre vigilance dans les patterns des bosses, et où même les ennemis inférieurs peuvent se montrer redoutablement vicieux.

Si vous aimez pleurer du sang, mais sans subir l'univers sombre et dépressif de Dark Souls, ce jeu est pour vous.

Ici pas d'inclusivité, ni autres tantifleries ineptes qui fatiguent bon nombre de joueurs, là c'est du sérieux et du spirituel.

J'ai mis une soixantaine d'heures à le terminer... avec une fébrilité non dissimulée en vue d'une suite.

Un peu que je le recommande ! Nixxes a encore fait un miracle en matière de portage, bien que la mention "Remastered" n'ait aucun sens ici tant nativement le jeu est d'une beauté à couper le souffle.

Et même s'il rencontre quelques crashes malgré ma conf on ne peut plus correcte (R9 7900X3D, 4070 Ti Super, 32go RAM, W11 24H2), on est sur du 160 FPS constant lorsque le jeu se montre stable. Comme les précédents titres portés PS5 vers PC, dormez tranquille sur le fait que Nixxes corrige ultérieurement ce qui est encore un peu bancale sur cet aspect.

Côté histoire, Naughty dog nous a encore pondu une dinguerie... Les personnages sont attachants et les moments où ils interagissent sont poignants, ce qui place l'intérêt du titre au centre de cet achat. La maniabilité est parfaite, le rythme du jeu est parfait, graphiquement ça ne rigole absolument pas... bref le jeu vaut clairement son prix (en tout cas celui d'IG) ; ça n'est pas pour des clous si une série en a été adaptée.

N'espérez cependant pas une suite car ce studio a le talent de ne jamais faire la suite de trop. Personnellement, ne m'en déplaise...

Marrant 5 minutes, mais sans plus car sans grand intérêt et ce, même en multi même si la commu est cool. Graphiquement très beau, ça on ne peut pas lui enlever; la VF est impeccable et drôle et les commentaires patriotes sont marrants. Somme toute, je m'en suis vite lassé...

Je l'ai pris day one, et je le recommande, oui, mais pas dans l'immédiat; pourtant, il est bien et divertissant mais je ne sais pas... quelque chose coince. On sent que Sony immédiatement veut sortir tous ses meilleurs titres sur PC pour se faire un max d'oseille, quitte à en négliger l'optimisation, optimisation qui était jusque là le fer de lance des titres PS4/PS5 sur PC avec des studios tels que Nixxes ou JetPack Entertainement, pour ne citer que les plus talentueux.

Ici, je n'ai pas prêté attention à qui l'a fait, mais ça sent clairement l'odeur moisie du crunch en studio de portage, et je ne parle pas de la barre chocolatée. J'ose espérer que des patchs vont sortir, tant la commu hurle au scandale sur les avis Steam, car entre ceux qui râlent que le jeu plante, ne se lance pas (ne pas tenir compte de ce genre d'avis car lorsque vous voyez l'état des ordis de ces joueurs, la question est vite réglée) ou rencontrent des lenteurs et des freezes; il y a à boire et à manger, et tout n'est pas bon à prendre : il faut se faire sa propre expérience et ensuite un peu de tri la tête reposée.

Le gameplay est très arcade, mais la difficulté en mode moyen est quand même assez corsée, donc gare aux amateurs du genre.
Le coté arcade du jeu justement rend l'histoire très anecdotique, et se paie même le luxe de produire chez le joueur une absence d'empathie pour son personnage car la narration et les évènements qui s'y greffent en rende son intérêt presque anecdotique, et c'est vraiment dommage car l'ère shogun au Japon possède une histoire et un héritage très dense et très ancien.

Beau, bourrin, mais terriblement linéaire au début. L'histoire et les aléas entre les personnages commencent à se faire ressentir au bout de 2h de jeu environ. Mais graphiquement encore une fois, il est ouf. Attendez qu'il baisse quand même car il vaut limite 25 balles, pas +.

Je crois que l'on tient là la quintessence de ce qui fait qu'un gamer reste perché sur son setup et qui bénit chaque jour que dieu fait, la vie qui lui a permis de s'offrir ce jeu qui tournera sur les confs les + modestes, tant Nixxes a fait encore un portage PC aux petits oignons.

C'est beau, lisse, chiadé, coloré, varié, respectueux de la culture nippone, ici y est aussi transposé tout le respect que peut avoir le peuple japonais pour le règne animal et son environnement. L'ennemi se veut cruel, et l'on peut même éprouver un certain plaisir à le détester, les combats au katana sont jouissifs, les postures sont stylées, les balades à cheval sont super immersives... Bref on tutoie les cieux.

Au panthéon de mes jeux favoris.

Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'intime conviction que les devs vont laisser tomber ce jeu... Parce que c'est pas fou-fou en matière d'intervalles entre 2 correctifs de leur part.

Graphiquement, c'est la claque visuelle, la moindre parcelle de ce jeu est animée, c'est incroyable. Les effets de lumière, le feu, le vent sont très réalistes, tandis qu'on ne distingue cependant pas une grosse diff entre le jour et la nuit, chronologiquement en jeu. Je l'ai testé sous les deux types de GPU, et Nvidia est encore devant AMD sur tous les points car la palette de couleur sort clairement saturée sous une Radeon. De ce coté-là, je ne saurais que trop vous conseiller une Geforce 30 ou 4070 pour jouer aisément sans lags.

"Jouabilitativement ?" , Le jeu se veut très punitif, tant dans le déplacement du personnage, que dans les combats, le moindre manque de concentration pourra vous être fatal, battre le 1er boss m'a pris plusieurs jours car j'étais pris d'une oisiveté sans pareille d'observer son pattern qui était très varié. Si j'ai insisté, c'est vraiment parce que le jeu est vraiment beau.

Un jeu à faire lorsqu'il aura baissé en prix, car j'en suis certain, les jeux en accès anticipé ne sont que des hameçons destinés à appâter les gamers les plus hypés par un titre.
Je ne le recommande donc pas à un tel tarif, mais je modifierai ma critique si mes pronostics concernant son avenir se révèleront faux.

Mais qu'est-ce qu'il est bon... ça, c'est du remake ! Capcom ne se fout vraiment pas de sa communauté et nous offre là le pinacle de ce que peut proposer cette franchise. La VF est excellente, le gameplay est nerveux... Foncez sans hésiter sur cet opus et son add-on (oui, j'appelle ça comme ça car je suis de la génération précédente)

Alors là les 3 studios ne se fichent vraiment ni de la franchise, ni des fans.

Non seulement on a droit à 3 nouveaux persos; que sont Max le catcheur, Estel la flic surprotéinée, et Shiva au style situé à mi-chemin entre ninja et moine Shaolin, dépoussiérés et revisités (surtout Shiva et ses combos aériens) dont Estel qui s'insère parfaitement dans la team, mais l'on écope aussi d'un mode survie tout simplement addictif à la difficulté grandissante; rendant la rejouabilité du titre quasiment infinie.

Les nouvelles musiques et dessins des niveaux du mode Survie sont encore une fois excellents et font la part belle à une atmosphère néo-rétro très maîtrisée, extrêmement soignée et aussi il faut le dire, très à la mode en ce moment.

Personnellement, j'en suis à + de 440h de jeu, c'est donc vous dire si le jeu plaira aux mordus de jeu de baston de rue. Je l'ai même acheté plein tarif sur Steam tant j'ai du respect pour le travail réalisé pour une franchise autrefois culte.

J'espère vraiment un autre DLC avec 3 autres vieux persos ayant pris leur cure de jouvence.

Le pinacle de la simulation de rallye ! Des réglages de véhicule que seuls des mécanos ou des passionnés de l'automobile pourront pleinement comprendre (même si des explications brèves dues aux modifications apportées sont là pour les profanes), des graphismes, des sons, une ambiance et une fidélité au réel à couper le souffle... Le summum est atteint !

Les paramétrages et la mise en jeu sont simples et concis, mais par contre ne vous attendez pas à ce que le jeu soit accueillant pour les profanes... Il n'y a absolument aucune tips pour savoir comment drifter super propre sans endommager la voiture, ou bien encore de comparatifs entre les perfs des voitures; tout est dans la pratique, des heures et des heures de pratique... L'esprit sérieux du rallye en simulation est là (pas comme ce Dirt 5 complètement clownesque, le 4, en matière de mélange entre arcade et simulation proposait bien mieux, mais bon passons...).

Le jeu se veut punitif, assez difficile et requiert beaucoup de concentration. Je conseille vraiment le DLC de la carrière de Colin McRae qui apporte un vrai + et davantage de belles heures de jeux.

A ceux qui disent que le copilote est mou, je ne suis pas d'accord. C'est tout de même le copilote de Chris Atkinson qui s'y colle et je pense qu'avoir un copilote stressé ou stressant peut y être pour beaucoup en situation de rallye réel par rapport à la victoire (et puis son accent belge est marrant).

Un sans faute ! vivement le 3.0.

Il mériterait 100.. et pourtant je ne lui donne que 70 car c'est le portage le + fainéant que j'ai jamais vu. Team ninja ne s'est pas trop foulé, la machine à cash du fan-service est passé par là et le résultat s'en ressent dés les premières minutes de jeu. Scandale absolu, tant pour une saga de cette envergure aux multiples récompenses à la fin des années 2000, tant pour Ryu Hayabusa qui est de mes persos favoris de l'univers du jeu vidéo.

J'ai retrouvé autant de plaisir qu'il y a 10 ans à manier le katana et autres armes bien + cruelles les unes que les autres, à mater les cinématiques qui ont magnifiquement bien vieilli, et à redécouvrir les personnages que les versions sigma ont fourni par la suite mais que je n'arrivais pas à me procurer à l'époque car les supports physiques souffraient évidemment de ruptures de stock, tant cette saga est énorme.

N'écoutez pas les critiques acerbes du 3ème opus car il est absolument excellent dans sa version Razor's Edge.

Tout est surstylé dans ce jeu. Le menu, l'interface, le hacking, la dégaine du perso, ses améliorations, les dialogues, l'univers futuriste... Tout !

Côté optimisation, malgré tout ce que j'ai pu lire ou entendre, absolument rien à signaler chez moi si ce n'est quelques chutes de FPS, mais bon on va pas demander à Square Enix des efforts en la matière puisqu'ils sont capables du pire comme du meilleur (comme l'immonde m*rde qu'a pu être Left Alive). C'est sûr, ceux qui essaient de le faire tourner sur un pentium 133 avec une 3Dfx et Windows 95 muni d'une connexion AOL, là faudra penser à investir... Je ne comprends donc absolument pas toutes ces critiques qui parlent de "crash" et de freeze"

Si vous aimez l'infiltration et vous cassez la tête à chercher des itinéraires bis, ce jeu est fait pour vous.

Hack 'n slash nerveux et percutant, visuellement très plaisant, classes de personnages assez basiques mais ça fonctionne. Des boss + fréquents que dans Diablo, ennemis par vagues et parfois fourbes, ça c'est sympa

Du Blizzard... donc forcément du jeu au codage excellent et aux cinématiques à faire pâlir Michael Bay. Des graphismes à la prise en main (pourtant je ne raffole pas des RPG), en passant par la VF et le choix des classes, c'est purement et simplement un sans-faute. Mention spéciale au sorcier et au féticheur dont les sorts sont graphiquement superbes.

Cobra Kai: The Karate Kid Saga Continues

Autant la série Netflix est juste géniale, autant l'esprit n'est pas super respecté dans le jeu (non les Cobra kaï ne projettent pas de feu quand ils donnent les coups, et Myagi-Do ne fait pas de blocs de glace non plus) à trop vouloir accentuer la représentations de la lutte entre le bien et le mal, ça tourne au ridicule. Le gameplay a sûrement dû être fait par des passants qui ont dû voir de la lumière dans le studio et sont rentrés : les animations sont beaucoup trop brouillons, la difficulté assez inégale, et la musique trop répétitive (bien que de bonne qualité sonore).

Quitte à faire un jeu de baston old-school, autant y aller à fond et contacter des studios tels que les frenchies de LizardCube qui ont par exemple pondu l'excellentissime Streets of Rage 4.

Les persos sont par contre très fidèles à leur modèles, tant dans le dessin que dans leur style de combat. ...y'a au moins ça.
On va dire que ça divertit 5 minutes, pas de quoi casser 3 pattes à un canard.
Le reste, ça va à la déchèterie, et sans passer par le tri sélectif de ta****ze.

A vomir ! Plus aucune personnalisation sur le réglages des bagnoles, d'épreuves de rallye pur et simple, l'esprit de la licence Colin McRae a tout simplement disparu pour laisser place à un crossover entre Destruction Derby et Ridge Racer (pour ne citer qu'eux) une voix-off de "méga-chébran" que personne n'aura envie d'écouter tant elle est énervante. Le temps d'une course de 5 minutes vous aurez le temps de voir passer toutes les météos, le jour, la nuit... Bref c'est du grand n'importe quoi !!

L'interface a perdu tout son sérieux de l'univers du rallye, vous êtes transbahuté d'une catégorie de course à une autre pour "progresser"... Bref, c'est purement et simplement axé arcarde.

Graphiquement c'est très inégal et assez buggé, le moteur 3D n'est plus le même non plus, on est beaucoup trop dans le fluo et plein-la-vue. Les musiques vont avec l'esprit du jeu, c'est-a-dire pour les moins de 20 ans, les sons des moteurs sont devenus de simples "vroum vroum", fini la production chiadée des précédents opus... Faut faire du blé maintenant, uniquement du blé ! Quel dommage, j'adorais cette licence depuis 1998 Colin McRae le 1er du nom.

L'aspect "accés à la simulation pour les profanes et amateurs de rally" qui ont fait les belles heures de cette licence a purement et simplement disparu.

Rien n'y fera. Car là-bas, déjà, l'attend un gouffre sombre et obscur – effrayant : la poubelle.

Mea culpa... J'y ai passé des soirées entières. En ayant mal réglé la qualité graphique au préalable sans comprendre l'arbre de compétence qui est franchement le seul point noir du jeu, j'ai rédigé un avis mitigé... mais je me trompais.

Graphiquement je le répète, il faut une bonne machine sinon ça devient vite moche et le flou de mouvement devient laiteux.

Une fois bien en main, ce jeu est tout simplement dément. Si on associe bien les pouvoirs, l'Overdrive et les armes qui vont bien, c'est un immense défouloir qui mérite sa place au panthéon des FPS de sa catégorie. Le DLC n'est pas ouf, il prolonge juste le plaisir c'est tout.
J'ai dû mettre une cinquantaine d'heures avant de le terminer; mais franchement j'me suis régalé.

Une ode ! En tous points fidèle à l'esprit initial de la licence. On sent de suite que les développeurs ont voulu faire un très bon jeu, de par les dessins manuels qui sont d'une qualité indéniable et par un gameplay qui ne se fait que trop rare aujourd'hui. Les amateurs de beat'em all des années 90 ne peuvent être que conquis car le style de jeu Final Fight y a été incrusté (sensation de castagne prononcée) tant les hitbox sont toujours aussi punitives. Quelques nouveautés en PNJ ennemis mais pas trop, juste ce qu'il faut pour laisser la place à la nostalgie.

J'ai adoré ! 21/20.

Si je ne mets pas 100, c'est uniquement parce que la synchro labiale en VF gâche le plaisir visuel de cette perle. C'est un univers bien particulier qui est créé pour cette franchise, et qui pourra souvent rebuté les joueurs aux habitudes bien ancrées.

On a affaire à un jeu abouti, bien codé, maniable, beau, fluide et au scénario original, bien qu'alambiqué parfois. Cependant, le rythme scénaristique du jeu souffre d'une cadence identique à un film Netflix (très souvent long et chiant).

Jesse est maniable, les dialogues avec les PNJ sont intéressants et les gros plans (plutôt faits pour le côté "m'as-tu-vu" de la qualité graphique poussée selon moi) sont juste ouf. L'arme principale est stylée, les pouvoirs télékinésiques sont très bien illustrés et demeurent complémentaires à l'arme principale tout au long du jeu.

Rise of the Tomb Raider 20 Year Celebration

Ce que j'aime dans ce reboot, c'est redécouvrir une Lara Croft qui ne soit pas une Avenger ou encore un produit de la race fast and furious. Un personnage + humain, + accessible bien que que téméraire.

Même si les énigmes se veulent répétitives (ce sempiternel système flèche-corde), on se prend au jeu et on y reste collé des heures. Les gunfights sont sympas et fréquents, Lara est un vrai hamster lorsqu'il est question d'escalader. Le côté survival dépasse allègrement l'aspect archéologique.

Cet opus frise la perfection visuelle et artistique. Je suis resté bluffé devant tant de travail envers lequel on ne peut se montrer qu'admiratif.

La VF de Lara possède une nouvelle doubleuse avec une voix plus mature, ne m'en déplaise.
L'héroïne se montre plus sûre d'elle, toujours aussi jolie (oui, même si je sais que ça n'est qu'un jeu) et beaucoup plus vindicative.

La DA se veut bien plus développée que dans les 2 opus précédents, l'arbre de compétences se dote d'une fresque se mêlant bien à l'atmosphère de ce chapitre; forts de ce constat, les créateurs ont laissé libre cours à leur fascination pour les mythes mayas et aztèques, plongeant le joueur dans une atmosphère toujours plus angoissante lorsqu'il est question de temples renfermant pièges cachés, grottes ou nages en eaux profondes de façon prolongée.

Une magnifique surprise qui vient clore un reboot d'une licence culte.

Et maintenant voilà le revers !

P****n que c'est beau... que c'est animé... mais qu'est-ce que c'est difficile !
Pour étayer, c'est une suite exceptionnelle avec les progrès graphiques qui vont bien. Tout y est beau, lisse, chiadé et animé. L'environnement a aussi eu droit à encore + de vie, Ori se dote de nouveaux pouvoirs qui s'insèrent parfaitement et sont très simples à prendre en main.

Le dialecte baragouiné dans le jeu (Japonais je crois) est toujours le même, les dialogues sont brefs et on ne perdra pas de temps à écouter des histoires dont je me moque particulièrement (avis perso).

C'est un jeu difficile à lâcher, et lorsque vous sentez que vous ne progressez plus c'est qu'il est temps d'arrêter; pour le retrouver le lendemain.
Si vous avez aimé le 1er, foncez sur celui-ci !!

Ce remake est extrêmement crad'. Heureusement que ce sont ceux qui l'ont créé en 94 qui se sont chargés de lui donner cette magnifique cure de jouvence (pas comme un certain duke, pour ne citer que lui...). La violence est là, omniprésente, le gore poussé à son maximum ceux-ci portés par une nervosité qui n'a son pareil que dans le précédent opus.

Question effets sonores et musiques, il y a une nette amélioration qualitatives des musiques du jeu, ce que je trouvais bâclé dans l'opus de 2016. Les effets sonores des armes ont quant à eux bénéficié d'un effet de bruit à la fois "sourd et pêchu" qui donne davantage de sensation de faire très sadiquement mal.

Les graphismes sont propres, nets et sans bavures, très colorés sans tomber dans les crayons de couleurs non plus. Les PNJ et le Doom Slayer sont vraiment très expressifs et le travail acharné opéré sur ce plan en est grandement ressenti. Ça valait vraiment le coup d'attendre 6 mois de + pour obtenir ce résultat.

Côté optimisation, sans faute ! Tourne aussi bien sur un i3 4150 avec seulement 8go de RAM et une GTX 970 que sur ses aînés.

Côté scénario, c'est, contrairement à ce que j'ai pu lire sur ce site, très inspiré. Il faut juste lire les archives récupérées au cours de la campagne, mais ça, beaucoup de joueurs y sont malheureusement réfractaires. Un plaisir de retrouver VEGA et de connaître tous ces nouveaux personnages aussi badass qu'épiques.

Je conseille, déjà pour sa qualité ludique, mais aussi pour le respect total de l'opus de 94.

Arkane studios en a vraiment sous le pied. Déjà que Dishonored 2 était plutôt déter question graphismes et jouabilité, là on rajoute de une ambiance sonore et scénaristique; *shaker*; et on obtient cette pépite. Le jeu est difficile, les munitions rares, l'atmosphère angoissante (essayez avec un bon casque 5.1 et vous le sentirez passer) et la progression très lente.

Un dérivé de Half-Life se déroulant dans une station spatiale où tout est encore parti en live à la fois à cause d'une invasion extra-terrestre d'une part, et de la sempiternelle connerie humaine d'autre part. Je n'en dis pas davantage car les grandes lignes sont là.

Je recommande !

Ori and the Blind Forest Definitive Edition

Encore une méchante mornifle visuelle qui s'accompagne d'une jouabilité vraiment exceptionnelle. Voilà, c'est ça que j'attends : un jeu fini ! Ici on mêle plate-formes, recommence-essaye-encore, réflexion, et pugnacité. Là où le jeu vous exaspérera parfois de par sa difficulté graduelle, il se voudra gratifiant par la montée en compétence d'Ori.

L'histoire est belle, touchante, accessible aux grands comme aux petits et à la fois réaliste, sans faire dans le cucu-la-praline. La VF est de bonne qualité (traduction des textes uniquement car les dialogues auditifs sont un dialecte proche de celui des Sims).

Pour en revenir aux graphismes, la passion du dessin se fait ressentir par une animation de très grande qualité d'Ori, mais aussi des ennemis et des PNJ.

Chapeau bas aux concepteurs de cette perle en tous cas !

Le plus abouti en matière graphique et gameplay, je plussoie sur les graphismes car cet opus est vraiment époustouflant. Le personnage est maniable, chaque fois qu'il l'ouvre, c'est pour dire quelque chose d'intéressant et façon couillue. Encore un jeu injustement descendu par la critique et c'est vraiment dommage. L'environnement et Prophet feront sans nul doute penser à Predator, et les amateurs de FPS futuristes devraient y trouver leur compte. A posséder sans hésitation !!

Le meilleur pour la fin ! Discorde, surstylé et rapide, se montre enfin. Le duo Guerre/Discorde fonctionne bien, le jeu est beau (très beau même), fluide, lisse et chiadé. La direction artistique soignée, la bande son se veut un peu répétitive mais reste de très bonne qualité aussi. La sensation de découper ou de flinguer du démon est très accentuée, ce qui donne beaucoup de fun.
Ce deuxième virage de faire un semi-hack 'n slash pris par THQ pour cette licence est un pari qui, selon moi est réussi.

A posséder si vous aimez la licence, mais aussi les énigmes.

Ne pas écouter les conclusions trop hâtives. La maniabilité du personnage demeure certes un peu shamalow pour le moment, mais je suis certain que les développeurs vont remédier à ça. Graphismes et animations faciales excellentes, combats beaux et propres, prises de judo durant les fights bienvenues, effets de profondeurs exceptionnels, et j'en passe... vraiment un très beau jeu possédant un intérêt immense.
Si vous êtes fan de Star Wars, vous savez ce qu'il vous reste à faire.

On change de registre par rapport aux 2 premiers. Là, on est dans le die-and-retry compulsif. Le jeu se veut difficile et punitif, on prend 3 coups par un ennemi sbire sans être un boss, et on peut mourir, les énigmes casse-tête sont toujours présentes. Graphiquement, je l'ai trouvé grandiose, coloré (comme ses prédécesseurs) et très bien optimisé. La bande son est entêtante, les boss sont originaux en possédant chacun leur mode d'attaque et il faudra user de patience avant de maîtriser l'esquive. Pour finir, l'héroïne est très stylée, d'abord immature, impétueuse et arrogante au début du jeu, sa personnalité évoluera au fur et à mesure que vous avancerez dans le jeu.

Je conseille cependant de prendre le jeu avec le DLC "Keepers of the void", qui prolonge assez bien l'aventure.
Vivement la 4ème aventure avec le dernier des cavaliers, Discorde (ou Strife, c'est + stylé il faut le reconnaitre) mais en attendant il faudra poncer le spin-off Darksiders : Genesis.

Sachez que c'est un jeu dans lequel il faut pas mal de temps avant d'apprécier tout son potentiel ludique, car j'ai mis presque 9 mois avant de vouloir y rejouer tant la difficulté au début m'a rebuté.

Encore un bijou. L'imagination est franchement de mise dans ce jeu, des décors superbes, un bestiaire très varié, des bruitages ambiants crédibles... Ce jeu aurait mérité une promo quand même plus généreuse car c'est vraiment un très bon titre. La difficulté est là comme dans beaucoup de jeux de ce style (dark souls-like en moins punitif), achetez, vous ne serez pas déçu !

Enfin un studio qui écoute ses fans. Retour en grâce de la licence avec un scénar + fouillé que le 4, le monde ouvert n'en est pas vraiment un, donc ne vous laissez pas avoir car ça demeure du couloir comme certains l'aiment.

Les nouveautés apportées sont les bienvenues et se greffent bien au jeu. Marcus et ses comparses toujours aussi charismatiques, par contre les dialogues de Kait et des + jeunes sont toujours aussi niais que dans Tortues ninja 3 de 1993, mais bon, faut pas choquer les tites n'enfants donc on reste dans le politiquement correct.... snif !

Sinon, à posséder ! Cet opus a lavé la bouse intersidéral qu'était le 4.

Concevoir une saga sur les 4 cavaliers de l'apocalypse demeurait un pari risqué. De surcroît, s'il on fait une une interprétation assez lointaine des écrits bibliques. Mais là, je dois dire que les persos ont de la carrure ! Ce premier opus est un bijou que j'ai eu le bonheur de torcher une 1ere fois sur 360, et une deuxième fois sur PC (portage impeccable, d'ailleurs !)

Les fans de Zelda et autres jeux de ce style peuvent pleinement se pencher sur cette licence qui a su se faire une belle place au panthéon des jeux d'aventures. Les scènes à cheval sont tous simplement époustouflantes d'immersion et de feeling, côté narration, le personnage War ne se situe d'aucun côté du bien ou du mal et c'est ce qui rend le scénario très mystérieux, et qui suscite l'engouement principal du jeu.

Un excellent jeu donc, rempli d'énigmes bien casse-têtes et de personnages très inspirés, qui saura enrichir la ludothèque de chacun. A posséder absolument !

On monte clairement la difficulté de quelques crans avec cet opus qui se veut orienté coop cette fois. Je trouve l'idée mauvaise car si un pouce en l'air suffisait à motiver un être humain, voire lui redonner de la vitalité, on serait alors tous gonflés à bloc, pour ne citer qu'un exemple. La coop, selon moi est nulle et non avenue.

Ici, la montée en expérience est méritante et le jeu vous fera bouffer du die-and-retry à toutes les sauces jusqu'à plus faim, car les devs ont bien compris (à tort) que cela rajoutait un peu de durée de vie aux jeux qu'ils nous vendent.

Un système d'amélioration + complexe des armes et des compétences a été créé et ressemble étrangement à celui des sagas Dishonored et Prey, normal puisque Arkane Studios a participé au développement du jeu, mais ce système n'est (lui non plus) franchement pas le bienvenu ici.

En gros, alors que t'es content de ramasser de nouvelles armes, tu ne peux tout simplement pas encore les utiliser parce que ton level ne te le permet pas. Cette franchise qui répondait à une clientèle habituée à jouer pour se détendre sans se prendre la tête et passer un bon moment se retrouve ici vidée de sa substance.

Bethesda s'est montré maladroit en voulant faire entrer sa franchise dans un monde qui ne lui ressemble tout simplement pas, et va en payer le lourd tribut. New Order et Old Blood restent pour moi les références du genre, et New Colossus annoncait déjà la couleur de cet opus.

La narration est parfaite, l'histoire n'en demeure pas moins très sympathique et les personnages annexes toujours aussi attachants. Les soeurs en font par contre des tonnes et ça devient justement vite pesant.

J'ai terminé le 1er avec une de ces nausées dont mes amygdales se souviennent encore, à cause de graphismes franchement moches pour l'époque à laquelle il est sorti. Bon on s'en fout.

Cet opus m'a réconcilié haut la main avec la franchise. Premièrement l'interface, collant parfaitement à l'ambiance. Des dessins sublimes, je respecte énormément ce genre de griffe. Le gameplay et l’intérêt sont exceptionnels, les pouvoirs sont très intéressants, les duels à l'épée sont énormes même si un peu faciles. Cet univers à la fois steampunk et baroque confèrent à ce jeu tout son cachet, de loin dans le top 3 du panthéon de ma ludothèque...
Corvo et sa fille ont chacun leur personnalité et ça, c'est juste top.

Pardonnez mon bref texte, je me montre peu inspiré ce soir..

Une autre galaxie... C'est exactement de là qu'a été pondu cet intrus de la saga cultissime qui m'avait pourtant réconcilié avec le jeu vidéo. Situé entre plaisir et médiocrité, exactement à mi-chemin entre l'enfer et le paradis, le sucré et le salé et j'en passe; Andromerda (c'est pas une faute de frappe, j'ai juste glissé) est la réincarnation de ce qui se fait d'inqualifiable en matière de critique. Je m'explique.

Déjà sur un terrain glissant avec un DragonAge Inquisition qui n'avait su convaincre qu'une minorité de fans, BioWare, qui est devenu feignant et totalement désemparé depuis le départ de (Sir) Casey Hudson; continue de descendre dans des abysses de médiocrité scénaristique jusqu'à atteindre l'impardonnable avec Anthem, très récemment (mais ça c'est une autre histoire).
J'ai commencé, poursuivi et terminé ce jeu dans une douleur mentale si atroce que même une photo de Sarah Rafferty n'a pas su atténuer. Le charisme des personnages est absent, les impacts de décisions des opus précédents sont là pour être "polis", mais n'alimente en rien le sort de votre quête (sauf pour les romances... génial...!), les animations faciales et gestuelles en cohérence avec les paroles des personnages ont été vite fait corrigés, mais alors vraiment vite fait, les dialogues sont insipides (comme Anthem), et les ennemis ont autant de charisme que Jean Lassalle pendant la présidentielle car écouter entièrement une conversation entre vous et les personnages relève du supplice.

Et pourtant, tout n'est pas à jeter. La saga a eu droit a un beau lifting. La maniabilité est géniale, les graphismes sont très beaux (à part les animations faciales), les planètes sont superbes et possèdent chacune leurs propres caractéristiques, les escapades en nomade sont sympas, l'interface est assez réussie, et l'idée de départ; à savoir une nouvelle galaxie à explorer et à coloniser, est excellente. C'est en cours de route que BioWare a m*rdé.

J'ai été vraiment pressé de finir le jeu, tellement fébrile que je l'ai fini le jour où BioWare a décidé qu'il n'y aurait pas de DLC pour ce jeu au regard des ventes médiocres et des critiques négatives de la presse et des joueurs qu'a subi le jeu les semaines qui ont suivi sa sortie.

J'ai passé un excellent moment, je connaissais pas cet opus, ou plutôt ce spin-off de la franchise MG, mais pour un truc sorti de nulle part, il ferait presque de la concurrence à la licence Ninja Gaiden que je conseille fortement à celles et ceux d'entre vous en recherche de jeux difficiles et nerveux (mais uniquement sur consoles).

Les combos sont sympas, certains ennemis sont par contre vraiment moches et je me suis même demandé ce que de tels trucs venaient y faire. Graphiquement ça casse pas non plus des briques, mais c'est quand même beau soyons réalistes !

On a ici un personnage qui montre ses limites et ses failles alors qu'on pourrait croire plutôt à un "One-punch Man" au premier abord, et ça c'est franchement agréable et rend l'histoire immersive.

Belle surprise ! 16/20

Dire que ce remake était attendu des fans de la 1ère heure (comme moi) avec la massue de 100T de City Hunter derrière la porte du bastion de la Hype relève d'un doux euphémisme
Puis il vint, en ce jour de grâce de 2016, je m'avançais vers mon PC avec la vivacité du démon pour découvrir ce que m'avait pondu Id Software sur ce jeu que je sacralisais tant durant ma période d'ado et dont seuls des copains plus aisés possédant le dernier 486 DX4 100 mhz, pouvaient profiter de la résolution maximale 640x480 de l'époque....

Pour reparler du jeu, j'ai tout simplement adoré... C'est tout simplement Beau, nerveux, respectueux, en tous points fidèle à la trame originale datant de 1994 en y ayant ajouté ce qui fait le plaisir des jeux d'aujourd'hui, des graphismes à faire baver, l'amélioration d'un arsenal, de nouveaux personnages très charismatiques et une VF à couper le souffle. Tout y est lisse, et on meurt d'envie de progresser pour connaitre tant la suite du jeu que les améliorations qu'apportent les modules d'armes. Même si le perso est muet, l'adrénaline est palpable dans son comportement, comme dans Half-Life (je déteste pourtant les personnages muets) et cela rend peut-être même le joueur encore plus prédisposé à en découdre.

Bravo Messieurs !!

Il est des licences dont on ne comprend pas toujours pourquoi au premier regard celles-ci n'ont pas connu de suite, et puis quand tu prends un peu de recul, et que tu regardes autour de toi en voyant les concurrents se vautrer comme de grosses buses avec des opus qui sont bien trop souvent ceux de trop (Gears of War 5, Tekken 7, Mass Effect Andromeda, Batman forever...) Tu te dis que plus le temps passe, plus celui-ci sacralise ton bébé.

Vanquish est de ce sang-là. Un ovni qui a attérri il y a 8 ans sur consoles, et dont le portage (parfait) ne s'est fait que très récemment sur PC. Pour l'avoir torché 3 fois, l'originalité, la nervosité, un petit scénario pas super super mais peu importe sur ce type de jeu, la dégaine des personnages et l'arsenal feront passer de bons moments à celles et ceux qui cherchent un jeu pour se divertir sans trop se prendre la tête.

Je déteste ces jeux de m*rde où tu passes des heures à écouter des personnages au regard vitreux qui te raconte ce qui est censé être l'histoire. Dans Vanquish, il te suffira de regarder les images pour simplement comprendre à quoi tu as affaire, les concepteurs l'ont manifestement compris et le résultat final s'en fait ressentir.
Le tuto en début de jeu te met en selle direct, pas de blabla, t'y vas et tu dégommes tout le monde !

Cet opus de EA BioWare est une gifle. Attention, c’est pas une grosse baffe qui fait mal avec plein de génie dedans. Non, c’est une réaction. A la première parole prononcée par le personnage principal, j'ai été pris d'une soudaine frénésie d'appuyer sur le bouton configuré pour "Passer", tant j'ai senti que ce qu'il allait dire était aussi intéressant que les chroniqueurs-en-boucle de BFMTV ou qu'une conversation entre meufs. j'ai prié tous les saints durant 1 an et demi à attendre le messie que représentait ce jeu pour nous autres, les vrais fans de Mass Effect (pas Andromeda, cela va de soi)... Mais ma déception fut aussi grande la beauté des graphismes. Aucun intérêt... On sent de suite que les concepteurs avaient le revolver-du-politiquement-correct appartenant à Electronic Arts plaqué sur la tampe en leur chuchotant de leurs belles voix mélodieuses et cristallines :"Comme Marvel au cinoche, il faut que ça plaise au plus grand nombre et que ça convienne verbalement à tous les âges, donc te fatigue pas trop avec le scénario et les dialogues, meuble avec du blabla fais en sorte d'en mettre juste plein les yeux."
Toute la vacuité de l’existence de ce jeu vous est projetée à la figure après seulement 3 missions où vous sentirez inéluctablement que la mission que vous êtes en train d'accomplir ressemble étrangement à la précédente et à celle d'avant encore. Ce jeu devient somme toute très vite chia*t et répétitif, et je doute fort que les DLC puisse redresser la barre car la base du jeu est mauvaise. Pour un jeu de la dernière chance pour le studio BioWare de Montréal, en ce qui me concerne, je trouve que c'est raté.
Poubelle au bout de 4h de jeu.

Terriblement mauvais ! Le jeu est beaucoup trop gourmand en ressources pour des graphismes qu'une 3Dfx Voodoo 1 de 1997 pourrait calculer haut-la-main, la difficulté est très mal dosée, le doublage français ne l'est qu'en texte, une traduction intégrale aurait franchement limité la casse. Ils ont su vendre le jeu en jouant sur les noms de concepteurs de jeux et mangas de référence, il faut croire que ces derniers ont bossé dessus juste après être allé chez Monsieur Meuble un samedi après-midi. Jouer bourrin est tout bonnement impossible, d'une part parce que la config des boutons manette de base est nulle, et d'autre part parce que le revolver a autant d'impact sur les ennemis qu'une fléchette Nerf. L'IA a été conçu à partir de l'ADN de diarrhée passée à travers une chaussette. Je n'attends même pas une mise à jour tant cette purge est injouable... une parodie de Resident Evil.
Gardez vos 40€ pour des jeux qui en valent la peine...
Je mets 10 parce qu'on peut pas mettre zéro, une honte de pondre ça en 2019.

Visuellement superbe, arsenal impressionnant, nerveux, musiques pas trop répétitives... Les sessions avec le robot sont bien jouissives, on a pas la sensation de lourdeur de la machine quand on la magne, pile ce qu'il faut.
Le gros point reste selon moi le mode campagne solo, beaucoup trop court -> 7h à tout casser... Dommage. J'espère qu'il y aura un 3ème car celui-là a été largement sous-évalué.

Bon petit jeu-défouloir bien fun, beaux graphismes et bruitages, les explosions sont plutôt réussies pour une fois les doublages (sur ce type de jeu) tiennent la route. Le DLC coldstrike est par contre une grosse blague, 3 missions seulement...

Sans conteste la digne suite du 1er du nom, avec un scénario plus fouillé et des personnages qui permettent de sentir que le protagoniste principal n'est pas si seul dans sa quête qu'on croyait vaine à la fin du 1. Le jeu a également eu droit a de nombreux liftings depuis 14 ans (il date de 2004 tout de même), le rendant très beau graphiquement encore de nos jours à en faire pâlir ses cadets; la maniabilité, la jouabilité et l’intérêt de ce jeu y sont exceptionnellement mis en avant et font mouche dans une franchise qui m'a personnellement rendu très élitiste dans mes achats de jeu, comme l'a été Mass Effect pour le style RPG pour vous donner une idée.

Belle cure de jouvence pour ce grand classique des années 80, le perso n'a rien perdu de son charisme et de sa dégaine, la difficulté est bien dosée, la fluidité des mouvements est précise est agréable à regarder, seule ombre au tableau... les musiques, elles auraient mérité elles aussi un petit remaster + poussé.

En fait c'est simple, faites comme si cet opus n'avait jamais existé; car c'est la plus grosse douche froide de la franchise. On appelle cela se louper, une expérience ratée de laboratoire. Microsoft qui commençait à se sentir intouchable avec cette licence s'est vu là, être trop dépendant du résultat jusqu'à en devenir ridicule, et on en a ici l'exemple le plus criant. Les plus grands fans de la franchise ont dû crier au scandale dès les premières minutes de jeu tant le rendu est médiocre...

Un petit bijou de + sorti tout droit de chez Capcom, des clins d’œil aux épisodes de la première heure sur NES datant de maintenant 30 ans. La difficulté du jeu mettra à rude épreuve vos réflexes à la manette comme naguère quand cette foutue manette nous bousillait les mains avec ses coins carrés, des graphismes et des animations en cell-shading de très bonne facture, des musiques qui vous rappelleront le synthétiseur midi de la NES... Bref, c'est une licence à faire perdurer et à faire connaitre aux plus jeunes, j'ai adoré.

Le digne titre successeur des aventures de notre tueur de nazis. Il y a de l'idée, c'est fouillé et les scénaristes ont ce talent de rendre crédible chaque chapitre du jeu en y incorporant ce que les teutons avaient comme idées les plus ineptes (coloniser Vénus, bioniser l'humain...) jusqu'à en devenir ridicule. La voix française de Bruce Willis sur Blazko le barjo est, par contre, complètement hors sujet. Pour le 3eme opus j'espère qu'ils vont remettre celle du 1er qui lui allait parfaitement. Foncez, vous ne serez pas déçu(e).

Graphiquement sur les personnages et les animations, ça casse pas trois pattes à un canard, surtout pour un remastered de 2016, devoir cliquer sur l'oseille pour le ramasser agace assez vite. Pour le scénario, vous prenez Diablo 2, vous remplacez son histoire par celle des dieux des différentes mythologies que vous avez étudié en 5ème avec un prof d'histoire dépressif, vous agitez le tout et vous obtenez Titanquest. En 2 mots les concepteurs ne se sont pas trop foulés et le résultat s'en ressent assez vite. Les musiques deviennent vite gavantes, les bruitages limitent la casse. La lente progression du personnage allié à l'extrême homogénéité du jeu rendent son gameplay presque éprouvant.

J'ai essayé à 3 reprises de m'y mettre, mais incarner un personnage muet me dérange vraiment. C'est vraiment le genre de RPG mou comme un épisode de Derrick qui me fait rager d'avoir acheté, l'héroïc-fantasy ne sera jamais mon truc. Je respecte cependant les fans de ce titre et toutefois concevoir qu'il ait son fan-club.

La meilleure et la plus complète des suites bureautiques. Mise à jour très régulièrement, synchronisée (un peu trop à mon goût cependant) avec le profil Microsoft de l'utilisateur, je n'en ai jamais été déçu et j'y ai rédigé de nombreux documents. Un incontournable de la bureautique à un tarif que je trouve absolument juste comparé à celui stratosphèrique pratiqué par Microsoft.

La claque ! Avec cette saga, BioWare a surpassé toute sa ludothèque, et donne le gros coup de pep's au style de jeu RPG que je trouve habituellement extrêmement mou.
Environ 35h de jeu vous attendent, mais qu'est-ce que ça passe vite ! Je trouve que le jeu a vraiment bien vieilli; mis à part le 1, mais se rattrape haut la main avec son scénario en or massif.

ça ne s'arrête jamais. Le personnage que l'on incarne respire le leadership à plein nez, et c'est d'ailleurs peut-être ce qui vous laissera clouer devant votre PC à tel point que vous avez envie de faire partie de son équipe, où d'ailleurs chacun des protagonistes apporte sa pierre à l'édifice après son recrutement.

Question configuration, là encore c'est un sans-faute car c'est une saga très bien produite, qui ne demandera pas une machine phénoménale pour passer des heures à s'éclater. Les temps de chargement sont très courts, le 3ème épisode tourne à environ 150 fps en permanence.

Mass effect Andromeda est clairement 2 voire 3 crans en dessous de cette trilogie sur le plan scénaristique, même si cela ne veut pas dire qu'il soit si mauvais que ça.

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